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Les Gardiennes du panier

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Il existe une multitude de communautés dont la direction est assurée par une femme. En général, elles portent le nom de « Gardiennes ». 

 

Désintéressées par les ambitions politiques, ses membres vivent dans des lieux naturels, loin des grands villages et des villes, en symbiose totale avec la nature. Elles n’entrent pas en guerre, et mise à part quelques combattantes pour faire face aux dangers directs, elles n’ont pas d’armée.

 

On prétend que les Gardiennes ont des liens étroits avec les esprits de la forêt, qu’elles peuvent commander au climat ou aux récoltes. Les différentes Gardiennes se soutiennent les unes les autres, organisant des conclaves où elles font part de leurs rêves et échangent des informations…souvent occultes. 

 

Toutes sont des fidèles D’Idunn, déesse de l’éternelle jeunesse :

« Elle (Idunn) conserve dans son coffre les pommes auxquelles les dieux doivent goûter quand ils vieillissent : tous retrouvent alors la jeunesse, et il en ira ainsi jusqu’au Crépuscule des dieux ».

 

Elle est l’épouse de Bragi, dieu de la poésie, de la musique et l’éloquence.

 

Il existe deux façons de devenir une Gardienne du Panier :

  • Les naissances au sein de la communauté : quelques hommes, fidèles de Bragi, vivent au sein des Gardiennes et peuvent ainsi enfanter. Il n’assument pas le rôle de père, et la filiation est immédiatement effacée afin d’être oubliée.

  • Les naissances par offrande des maisons : il arrive qu’une Gardienne sollicite une enfant auprès d’une maison, quelle qu’elle soit. Jamais la demande n’est refusée. La fillette est alors remise à la Gardienne qui l’élèvera comme la sienne. 

 

Description : Il s’agit de femmes vivant dans les bois mais richement vêtues. Beaucoup ont une chevelure blonde, signe considéré comme une faveur de la déesse. Leur robe blanche leur donne une présence immaculée.

Au sein de la communauté, tous les métiers sont pratiqués. 

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