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Les Enfants de Líf (Vie) et Lífþrasir (Ardent de vivre ou Vie tenace, parfois aussi Désir de vie)

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Lif et Lifprasir

Ils composent la grande majorité des peuples du Nouveau Monde. Ils sont les enfants des deux survivants choisis par les dieux pour refonder l’Humanité.

 

Lif et Lífþrasir ont eu 9 enfants, 5 garçons et 4 filles. Tous ne sont pas restés ensemble et leurs descendances se considèrent comme les élus des dieux, seules habilitées à repeupler un monde neuf.

 

Ceux qui ont survécu d’une autre façon ont donc échappé à une punition divine et il convient de rétablir l’ordre des choses…

 

Ce clan, accorde une très grande importance au sang et à la généalogie. Tous connaissent leurs ancêtres et peuvent remonter jusqu’aux fondateurs des lignées. 

 

Si les neufs enfants sont issus de la même famille, comme dans toutes les familles les querelles sont présentes, notamment pour savoir qui doit diriger, qui se situe le mieux dans l’héritage des fondateurs, quel sort réserver aux survivants se situant hors descendance…

 

Ils respectent les dieux, pratiquent les rites, suivent toutes les traditions. Chaque lignée dispose d’un roi ou d’une reine, et les neufs élisent en leur sein le Haut Roi ou la Haute Reine. 

 

Il s’agit de loin du clan où la politique est la plus présente, et sa volonté est de repeupler le monde, d’étendre son pouvoir et de distribuer la sanction divine aux rescapés.

 

Description : Les Enfants de Lif et Lífþrasir sont semblables à des femmes et des hommes du Nord de l’Ancien Monde. La Maison à laquelle ils appartiennent marque profondément la tenue vestimentaire, le type d’armes utilisées ou l’attitude.

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Solveig

Solveig était un homme taciturne, replié sur lui-même et n’ayant aucun attrait pour l’exercice du pouvoir. 

 

Poète et musicien, il mettait en chanson la grande histoire de son peuple.

 

Ses descendants sont parmi les plus fameux Scaldes des Terres de Glace.

 

C’est ainsi que les descendants de Solveig sont perçus. 

 

Très intelligent et fin manipulateur, Solveig n’avait aucun attrait pour la force brute ou la beauté de la couronne. 

 

Aussi, dans un contexte où l’écriture est interdite, celui qui connait et raconte l’histoire détient un pouvoir très grand, puisque ce que retiendra le peuple est ce que le conteur choisira. 

 

Solveig compris ainsi que son pouvoir résidait dans le choix des mots, et qu’un seul mot choisi finement aurait des conséquences très grandes sur la perception d’un même évènement.

 

Les descendants de Solveig détiennent de nombreux secrets qui sont transmis par les maîtres à leurs élèves. Aussi, si la maison de Solveig comporte en son sein tous les métiers, chaque descendant a une affinité avec un art oral, musical ou intellectuel, par lequel il transmet les secrets.  

 

Description : Outre le fait qu’ils soient de grands artistes, ils ont aussi une affinité certaine avec l’espionnage. Organisés en guilde en fonction de l’art pratiqué, ils échangent nombre d’informations, ou décident ensemble de l’histoire qui sera racontée par rapport à un évènement. Ils sont souvent surnommés les faiseurs de roi.

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Sören

Sören était un combattant redoutable et redouté qui, hors du champ de bataille passait pour un coureur de jupons. 

 

Sa descendance est compliquée à établir du fait de ses conquêtes, et nombre d’enfants du Nord prétendent être de sa lignée. Cela entraine beaucoup de conflits au sein même de sa maison.

 

La Maison de Sören est donc marquée d’une grande tradition guerrière où les combattants sont formés dès leur plus jeune âge. Quel que soit le métier de ces descendants, tous savent se battre, et chacune des autres maisons prend grand soin à ne pas froisser un Sören.

 

En effet, Force et Honneur sont des mots qui ont un sens très forts pour ses membres, et tous sont des fidèles de Modi et Magdi, les fils de Thor.

 

Aucun affront ne reste impuni et les familles composant la maison sont très solidaires.

 

Les femmes du Clan Sören peuvent accéder à tous les métiers, excepté celui de guerrier qui est réservé aux hommes.

 

Les liens avec les Descendants de Tyra sont très forts avec un respect marqué pour les qualités guerrières des uns et des autres. 

 

Description : Quel que soit le métier pratiqué par un descendant de Sören, tous sont équipés en combattants prêts à partir à la guerre.

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Jörgen

Jörgen était un géant, brutal et sans compassion. Guerrier capable d’endurer les pires blessures, on ne compte plus les ennemis abattus qu’ils soient hommes ou autre chose. 

 

Jörgen a été Haut Roi car il voulait exercer le pouvoir dès son plus âge. Il était en capacité de prendre les décisions les moins populaires lorsque les nécessités l’exigeaient. 

 

Partisan d’un sang pur, sa descendance est issue de son union avec sa sœur Gudrun. C’est au sein de sa maison que l’on trouve le plus grand nombre de Hauts Rois.

 

Une fois cette description lue, si rien n’est faux, pour autant on ne pourrait pas être plus éloigné de la vérité tant cette maison est complexe et parsemée des secrets les plus noirs. 

 

Description : Les descendants de Jörgen sont souvent grands et puissants, et sont dotés d’un sens de l’humour plutôt discret voire inexistant. Ils sont brutaux tant dans les actes que dans les paroles. Beaucoup d’entre eux sont des guerriers, sans que ce métier ne soit interdit aux femmes. Mais si l’une d’elle souhaite entrer dans cette voie, elle doit savoir qu’elle ne disposera d’aucun traitement de faveur.

Des neufs, il est le premier fils, celui sur lequel le poids des responsabilités fut le plus grand. 

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Gudrun

Elle est la dernière de la fratrie. Lorsque Jörgen posa ses yeux sur elle, jamais il ne s’en détourna.

 

Elle grandit loin des mesquineries de ses frères et sœurs, protégée par ses parents et Jörgen.

 

Dotée d’une santé fragile, elle subit de fortes fièvres et des toux qui la menèrent plusieurs fois au seuil de la mort. 

 

La nuit elle hurlait, assaillie par des cauchemars. Elle ne grandit pas comme les autres enfants. Elle voyait des choses que les autres ne voyaient pas. Elle entendait des choses que les autres n’entendaient pas. Tous la considéraient comme démente, une enfant perdue. Et peu à peu tous se détournèrent d’elle. Tous…sauf Jörgen.

 

Finalement, l’enfant devient une femme, et beaucoup la soupçonnaient d’avoir avec Jörgen une relation…contre nature. Mais si beaucoup le pensaient, aucun n’osa jamais le dire en présence de Jörgen.

 

Si au départ elle accorda son attention aux esprits, aux mots des vents ou aux murmures des rivières, lorsque Jörgen, bien plus âgé qu’elle mourut, son esprit se brisa définitivement. 

 

Elle récupéra le cadavre de son frère et amant, et le cacha au plus profond d’une caverne. Elle se tourna vers les arts les plus sombres dans le seul but que leur amour soit éternel. Elle usa de charmes et de rituels afin de conserver le corps de Jörgen, et de prolonger sa vie.

 

Tôt ou tard, elle le ramènerait à la vie, et ils demeureraient ensemble pour l’éternité.

 

Nul ne sait ce que les deux amants sont devenus, ils sont censés être morts les deux cadavres enlacès.

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Description : La Maison de Gudrun est de loin celle qui est composée du moins de membres. Tous sont des femmes. La tradition veut que la première fille née d’une famille issue de la descendance de Jörgen soit présentée à la Matriarche de la Maison de Gudrun. Elle décide alors de l’adopter comme l’une de ses filles, ou pas. En réalité, peu sont choisies. Quelques fois, une homme est enlevé, et servira  uniquement pour déposer la semence, avant qu’il ne soit sacrifié.

Toutes les descendantes de la Maison de Gudrun sont des sorcières, quel que soit leur métier. Elles apparaissent comme des femmes portant des vêtements atypiques, parsemés de bijoux et de breloques, marquées de runes et d’autres symboles. Beaucoup portent des peintures rituelles et/ou des tatouages. 

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Veland

Veland est le deuxième de la fratrie. 

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Il était un homme de grand charisme au port aristocratique. Quand il entrait dans une pièce, tout le monde se retournait.

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Fin politicien et grand stratège, il représenta à de nombreuses reprises le clan lors de rencontres. Souvent opposé à Jörgen, il ne fut jamais en capacité d’imposer sa maison faute d’une descendance.

 

Sur son lit de mort, Veland adopta un jeune officier du nom de Daven à qui il confia sa maison.

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Jamais un roi de la maison n’eut de descendance. La tradition a donc été maintenue de procéder par adoption. Ainsi, chaque roi adopte un fils ou une fille afin d’assurer sa succession.

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Il est fréquemment reproché à cette maison de ne pas être de sang pur. Pour autant elle a eu plusieurs fois un Haut Roi.

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Si la tradition de l’adoption semble être un handicap, pour autant chaque roi ou reine choisit des successeurs en fonction de leurs qualités et compétences. Aussi, rares sont les chefs de maison qui ont été inefficaces.

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Description : Il s’agit d’une maison extrêmement riche, tant en ressources matérielles qu’en compétences. En effet, le fait de pratiquer l’adoption permet de souder de nombreuses familles et d’étendre une influence dans des domaines très variés.

Les membres de cette maison sont donc vêtus et équipés avec style et dans les meilleurs matériaux.

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Hedda

Hedda ne pourrait jamais exercer le pouvoir et elle le savait bien.

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Enfant elle sentait l’appel de la forêt, une envie incommensurable d’être seule, d’explorer ce monde neuf qui s’offrait elle, n’étant effrayée ni par les hommes ni par les créatures peuplant désormais le monde.

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Proche de Njall, elle l’accompagna lors de ses nombreux voyages. On lui prête de nombreuses relations avec des créatures surnaturelles.

 

Ayant disparue durant de nombreuses années, elle revient avec 2 fils et 3 filles sans que personne n’en connaisse les géniteurs. 

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Sa maison demeure dans le même état d’esprit.

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Au centre de la capitale se trouve une immense bâtisse de bois. Elle semble vide, mais de temps en temps de la fumée sort de la cheminée. En effet, chacun des descendants peut y séjourner en se présentant devant la porte. Elle s’ouvre pour lui car la bâtisse nommée « le foyer » reconnait les siens.

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Les membres sont respectés pour leurs savoirs anciens, les légendes oubliés des autres et leurs connaissances ésotériques. Le poids politique de cette maison est inexistant ou presque, même pour l’élection du Haut Roi il est arrivé qu’aucun membre ne soit présent afin d’exercer son droit de vote. 

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Le Roi ou la Reine de la Maison est choisi non pas par descendance ou héritage mais à l’issue de nombreuses épreuves au sein de la maison, qui diffèrent entre les hommes et les femmes. Lorsque les épreuves sont terminées, un roi et une reine sont choisis.

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Description : Les descendants de la Maison Hedda sont sans doute parmi les plus grands chasseurs des Terres de Glace. Leurs vêtements et leurs équipements en sont la marque. Ils sont la plupart du temps peu loquaces, ne semblent avoir aucun intérêt pour la politique ou les richesses. Quand ils souhaitent quelque chose, ils le prennent.

Cette maison accorde une grande importance au Hamr, qui est un des cinq corps constituant l'homme. Hamr est le corps astral. On raconte que chez certaines personnes, il peut se détacher de son enveloppe corporelle et agir pour son propre compte…

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Elma

Elma a toujours préféré son foyer à la cour. Bien que ce soit une femme de caractère, elle n’exerça jamais le pouvoir du moins, ouvertement.

 

Ayant eu de nombreux enfants, tous furent bien préparés, et sa maison a toujours été une maison respectable et respectée.

 

Si nombre de ses maris sont décédés après qu’ils lui aient donné des enfants, la plupart n’y voient que de la malchance pour une femme qui portait une grande attention à sa famille. 

 

Force est de constater que la descendance de cette maison a fourni des femmes de caractère et des maris effacés.

 

Sa descendance a perpétré cette façon de fonctionner. Ainsi la maison ne connait que des reines tandis que les époux censés être des rois ne se consacrent qu’à la protection de leur famille. Ils ne sont pas faibles pour autant, ils gardent simplement leur place.

 

Chez la maison Elma le pouvoir est exercé par les femmes et tous les hommes qui ont essayé de changer les choses ont été rayés de l’histoire. 

 

Dès leur plus jeune âge, les femmes sont formées pour commander tandis que les hommes sont considérés comme des procréateurs et des protecteurs. 

 

La reine s’entoure ainsi d’un conseil de femmes qui sont les matriarches des différentes familles composant la maison. Si le pouvoir n’est pas collégial, ce conseil joue néanmoins un rôle extrêmement important. Il est composé de 10 femmes, la reine comprise.

 

La demeure de la famille surplombe la mer en haut d’une falaise inaccessible.

 

Description : Les femmes de cette maison sont vêtues de façon riche et noble mais jamais de façon ostentatoire ou provocante ; ce sont des femmes au foyer et elles cultivent cette apparence. Bien éduquées, elles connaissent les règles de la cours et l’étiquette. Elles cuisinent avec talent et savent tenir leur logis. Elles accordent une attention particulière à leur famille et leurs enfants. L’éducation est le socle d’un adulte responsable.  

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Tyra

Tyra était une belle jeune femme impétueuse et sanguine, capable de faire craquer n’importe quel homme, qu’il s’agisse de son cœur ou de ses os…

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Proche de son frère Sören, elle l’accompagna de nombreuses fois sur le champ de bataille.

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Sa descendance est une maison de tradition guerrière, avec une égalité homme /  femme affirmée, fournissant nombre des meilleurs généraux au Haut Roi.

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On connait cette descendance pour sa loyauté et sa droiture, respectueuse de l’autorité, des traditions et des dieux.

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Ces derniers, ou du moins, ceux qui ont survécu ont Ragnarök, sont peu nombreux. On compte parmi eux, Vidarr et Vali, l’un étant le plus fort après Thor, tuant Fenrir lors de la grande bataille en lui perçant le cœur et lui arrachant la mâchoire avec son pied, et l’autre vengeant la mort du dieu Baldr.

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Les deux frères sont alors assimilés à la vengeance et au silence, des dieux plus démonstratifs dans les actes que par la parole, et participant au renouveau de l’univers.

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La maison de Tyra vénère ces dieux plus que tous les autres, et transmet leur enseignement. Apportant la vengeance à ceux qui les offensent ou qui ont fait du mal à leur peuple, ils sont la main du Haut Roi qui tue l’ennemi qu’il soit extérieur…ou intérieur.

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Les descendants de Tyra ne jugent pas. Ils apportent la vengeance par une mort  silencieuse exempte de tout débat. Lorsque le roi ou la reine décide, la sanction est appliquée quelle que soit la victime.

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A n’en pas douter, outre leurs compétences sur le champ de bataille, ils sont les meilleurs assassins du peuple des survivants. 

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Description : Il s’agit d’une maison combattante même si tous les métiers y sont représentés. Ce sont des hommes et des femmes respectueux, loyaux et dotés d’un fort sens de l’honneur. Tout affront est toujours puni quel qu’en soit le prix, aussi, peu s’aventurent à défier un membre de cette maison. 

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Njall

Njall était un enfant calme et sage, en constante observation du monde qui l’entourait.

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S’il comprenait l’intérêt des arts guerriers, il ne s’imposait pas aux autres par la violence, pas plus qu’il ne souhaitait être le plus fort.

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Prenant soin d’être à l’écoute, beaucoup se confiaient à lui, dans l’attente d’une oreille attentive ou d’un conseil. Njall savait quand et comment parler, mais aussi se taire.

 

Avec le temps, il devint un combattant talentueux, intelligent et sage, un homme avisé et respecté. Beaucoup pensaient que naturellement, il s’imposerait à la mort de ses parents, en parvenant notamment à apaiser les querelles entre les différentes maisons.

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Mais tel ne fut pas le cas. Le monde avait subi de profonds changements et la situation de l’Homme était fragile. Au bord de l’extinction, l’Humanité toute entière aurait pu disparaitre.

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A l’âge de s’assoir sur le trône, il quitta le village au petit matin sans y revenir avant de nombreuses années.

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Njall voulait plus que tout comprendre, l’origine du monde, la nature des dieux, les raisons de leurs conflits, et la place de l’Homme dans ces rouages complexes. Il voyagea sans cesse, rencontrant d’autres hommes, d’autres peuples, explorant des sites de l’Ancien Monde, collectant des reliques et des fragments de savoir.

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Partout il vit que les faiblesses des hommes étaient les mêmes, et que sans doute, ils avaient été punis pour cela. Pour autant, il saisit aussi qu’ils étaient les outils de volontés cachées, et qu’il était aisé de leur faire croire qu’ils étaient responsables de tout.

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Nul ne connait la totalité de ses voyages ni de ses découvertes. Mais lorsqu’il revint il était bien plus qu’il n’était avant son départ. Même Jörgen faiblissait devant son aura tant son pouvoir était physiquement palpable.

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Il retrouva les autres maisons emplies de querelles pour des raisons aussi futiles que stupides. Njall réunit toute sa fratrie et autour d’un feu, il en ressortit des règles, toujours en vigueur jusqu’à ce jour :

  • La survie de la communauté prime sur toute autre considération.

  • Toutes les maisons devraient se réunir afin de choisir un Haut roi (ou reine), en disposant d’une seule voix, quelle que soit sa taille. Ce choix doit s’opérer à l’unanimité, sans que jamais un membre de la maison Njall ne puisse être choisi.

  • Sans unanimité, et donc sans roi (ou reine), le roi de la maison Njall assure l’intérim, en provoquant un nouveau vote à chaque saison. 

  • Les enfants de Lif et Lífþrasir menaçant la communauté seront bannis de celle-ci et deviendront des Omégas. Être banni résulte de la volonté du Haut Roi (ou reine) après avis de chaque roi ou reine de maison.

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Après avoir édicté ces règles, Njall quitta la communauté pour n’y revenir que très rarement. Si sa maison est peu peuplée, elle n’a jamais pour autant disparu. Ses enfants ont suivi ses traces, et sa maison jouit du même respect que du temps de son fondateur. Elle ne dispose pas de roi, et lorsqu’un membre s’exprime au nom de la maison, il le fait après accord des différents chefs de famille.

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Description : Les Njall pouvant exercer tous les métiers, leur apparence varie grandement. On y retrouve toutefois des traits communs, notamment le fait de ne pas porter une tenue provocante ou ostentatoire. Les Njall sont réservés et ne cherchent pas à briller en société. 

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